Crise anglophone, Sissiku Ayuk Tabe exige la libération des leaders anglophones. Arrêté en 2018, celui qui se fait appeler président de l’Etat imaginaire de l’Ambazonie estime que le gouvernement a l’obligation de respecter la décision prise en novembre 2022 par un groupe d’experts de l’Onu qui demandent aux autorités camerounaises de libérer les leaders incarcérés détenus de manière « arbitraire ». Face à cette réaction, que pense son avocat et la société civile camerounaise?
Suivons ce reportage de JEAN CHARLES BIYO’O ELLA