Patrick sapack puisqu’il s’agit de lui a passé plus de 10h de détention à la Brigade de gendarmerie de mvan à Yaoundé, dans la nuit de dimanche à lundi dernier.alors que les gendarmes l’accusent d’avoir outragé la famille présidentielle à bord d’un taxi,le journaliste qui parle d’enlèvement, balaie du revers de la main cette version et dénonce plutôt des manœuvres d’intimidation de certaines élites de la région de l’Est qui ne digèrent pas les critiques dont elles font l’objet ces derniers temps, à traversa plateforme « l’éveil de l’Est ».
Poursuivre la lecture de « Un journaliste interpellé puis relâché dans des circonstances troubles. »Entre meurtres et menaces de mort, les journalistes vivent dans la peur
Liberté de la presse. Au moment où le pays vient de commémorer la journée consacrée aux travailleurs des médias, les journalistes camerounais exercent dans un contexte marqué par la psychose généralisée.
Poursuivre la lecture de « Entre meurtres et menaces de mort, les journalistes vivent dans la peur »Increasing Crime In Anglophone Regions Depicts Crumbling Administrative Presence
Three princes of Mbei village in Santa, Mezam Division of Cameroon’s Northwest
Region, were killed on the night of April 22, 2023, by men locals say were separatist
fighters. The three Princes were killed in a drinking spot at Mbei Market alongside a
quarter head.
03 mai 2023. La presse privée toujours dans la précarité
Salaires des journalistes impayés, aides « élastiques » de l’État
Après la journée internationale du travail, le 1er mai, les journalistes ont célébré, le 3, la journée internationale de la liberté de la presse. Le thème retenu cette année au niveau international a été : « Façonner un avenir de droits : la liberté d’expression comme moteur de tous les autres droits de l’homme ».
Poursuivre la lecture de « 03 mai 2023. La presse privée toujours dans la précarité »Un technicien-monteur de films arrêté par des militaires
Douala. Steve Fotso a été interpellé sans mandat, ni plainte préalable, puis conduit à la Sécurité militaire à la suite de désaccords autour de la propriété intellectuelle d’une série télévisée intitulée « Miraculée ». Il y a été gardé à vue pendant sept jours.
Poursuivre la lecture de « Un technicien-monteur de films arrêté par des militaires »Lawyers Accuse Police Of Torturing Surviving University Of Buea Student
Lawyers for the family of the deceased University of Buea student, Ngule Linus, who died in police custody, and his friend, Mboh Jeres Akua, have revealed that the surviving Jeres who remains in custody is being tortured by elements of the SEMIL in Buea.
Poursuivre la lecture de « Lawyers Accuse Police Of Torturing Surviving University Of Buea Student »un nouveau né a été retiré des latrines dans la ville de Bafoussam
Il y a une semaine, un nouveau né a été retiré des latrines dans la ville de Bafoussam. Si les popultions dénoncent cet acte, la société civile quant à elle attire l’attention de l’Etat sur la nécessité de mener des actions pour accompagner les femmes et jeunes filles en détresse.
Reportage Charlène TEUSSOP avec l’appui de Jade Cameroun
Poursuivre la lecture de « un nouveau né a été retiré des latrines dans la ville de Bafoussam »Spoliation foncière. Les misères des pygmées Bayeli à Lokoundje
Des hommes d’affaires agissant avec l’onction des autorités administratives s’investissent sans tenir compte des droits des autochtones. Et pourtant la Constitution camerounaise du 18 janvier 1996 indique le rôle de l’Etat en la matière.
Poursuivre la lecture de « Spoliation foncière. Les misères des pygmées Bayeli à Lokoundje »Etudiants enlevés à Buéa. Le cri de détresse des deux familles
La sécurité militaire a confisqué le corps de Linus Fondeh Ngule, décédé au cours d’un interrogatoire, et maintient Giresse Mbuh Akwa, toujours vivant semble-t-il, au secret. Les deux étudiants sont soupçonnés de complicité séparatiste.
Poursuivre la lecture de « Etudiants enlevés à Buéa. Le cri de détresse des deux familles »Insécurité. Plus de 15 femmes tuées en 52 jours au Cameroun
Les féminicides s’accumulent ces dernières semaines au Cameroun et des images horribles sont publiées sur les réseaux sociaux. Les associations de défense des droits de l’homme s’indignent et dénoncent les atteintes au droit de la vie.
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