Les dockers du port de Douala doivent payer pour se faire embaucher, puis soudoyer au quotidien les chefs d’équipes pour être maintenus. Même geste pour qui veut être affecté à des tâches plus lucratives ou moins dangereuses. Une pratique surprenante pourtant connue par l’employeur, qui prétend combattre le mal sans succès.
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