A la fin du mois d’octobre dernier, François Etapa, préfet du département des Mbamboutos, a adressé une correspondance au sous-préfet de l’arrondissement de Batcham, Ignatius Ekale Netonda, lui enjoignant d’interrompre les procédures de légalisation des associations émanant des comités ou sous comités développement des quartiers ou villages de Batcham. Tollé chez les militants de la région.
Poursuivre la lecture de « Péril sur les libertés publiques. La légalisation des associations mise à rude épreuve à Batcham »Les États ne veulent pas de l’autorégulation des médias
Afrique centrale. De Bangui à Brazzaville en passant par Yaoundé, les gouvernements de cette sous-région gardent la mainmise sur les organes de régulation aux ordres, qui favorisent les médias publics et musellent la presse privée.
Poursuivre la lecture de « Les États ne veulent pas de l’autorégulation des médias »Human Rights Violated By Chief Moja Moja
Moja Moja’s actions go against Article 3, of the Universal Declaration of Human Rights, which states that, “Everyone has the right to life, liberty and the security of person”. Article 5, further states: “No one shall be subjected to torture or to cruel, inhuman or degrading treatment or punishment.” Moja Moja and his crew have violated all of these.
Poursuivre la lecture de « Human Rights Violated By Chief Moja Moja »Moja Moja’s Unrestricted Rights Abuses, Xenophobia: Is Gov’t’s Silence, Inaction Complicity & Disregard For Rule Of Law?
From time to time, Chief Ewome John, popularly known as Moja Moja, who doubles as an element of Cameroon’s Rapid Intervention Battalion, is seen parading his tortured victims along the streets of Buea, like a hunter returning from a successful expedition and needs to exhibit the harvest.
Poursuivre la lecture de « Moja Moja’s Unrestricted Rights Abuses, Xenophobia: Is Gov’t’s Silence, Inaction Complicity & Disregard For Rule Of Law? »Les éditeurs de presse demandent la libération de Parfait Siki
Droits de l’homme. Le directeur de publication du journal Info + est incarcéré à la prison centrale de Yaoundé depuis le 2 octobre 2022 pour les faits de « rétention d’un document en vue de sa falsification ».
Poursuivre la lecture de « Les éditeurs de presse demandent la libération de Parfait Siki »Violations des droits humains. L’Etat du Cameroun en disgrâce auprès de l’Onu
Mis à rude épreuve par un groupe de travail d’experts mandatés par le
haut-commissariat de l’Organisation des Nations Unies aux droits de
l’Homme, le gouvernement de Yaoundé clame sa souveraineté et nie les
instruments juridiques internationaux ratifiés par ses soins. Ce qui
prédispose le Cameroun à être catégorisé comme « un Etat voyou ».
Précarité à l’embauche. Licenciements abusifs et massifs pour des déplacés internes dans le Nord
Maintenus pendant cinq ans à des statuts professionnels de «travailleurs temporaires » par une entreprise basée à Limbé, ils ont travaillé nuits et jours dans les zones infestées par la secte islamiste armée Boko Haram.
Poursuivre la lecture de « Précarité à l’embauche. Licenciements abusifs et massifs pour des déplacés internes dans le Nord »Atanga Nji prescrit des sanctions contre Equinoxe Tv
Dérives. A la demande du ministre de l’Administration territoriale, le patron de cette chaîne est à nouveau convoqué au Conseil national de la communication, ainsi que l’un de ses collaborateurs, le journaliste Serge Alain Ottou.
Poursuivre la lecture de « Atanga Nji prescrit des sanctions contre Equinoxe Tv »La famille d’Ibrahima Bello mort suite à des tortures policières exige réparation
Bavure. Ibrahima Bello est décédé le 1er janvier 2022 dans l’arrondissement de Mbangassina. Ce jeune homme de 21 ans avait perdu ses deux jambes en 2017 après avoir été torturé dans les locaux du commissariat d’Ombessa. Sa mort ne devrait pas éteindre la procédure d’indemnisation pour sa famille.
Poursuivre la lecture de « La famille d’Ibrahima Bello mort suite à des tortures policières exige réparation »Torture des détenus dans les prisons. Devant la multiplication des cas les Ongs saisissent l’Onu
Le 28 décembre 2021, le détenu Stephane Soh, militant du Mouvement pour la renaissance du Cameroun a été tabassé et torturé à la prison centrale de Douala par un administrateur de cet établissement. Un acte de trop qui relance le débat sur ces violences condamnées depuis de nombreuses années par les organisations non gouvernementales et associations de défense de droits de l’homme. L’Onu est interpellée.
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