Quatre ans après l’assassinat de Samuel Wazizi, Les responsables ne sont toujours pas connus

Voici quatre ans, le gouvernement annonçait la mort du journaliste Samuel Wazizi le 17 août 2019. Aujourd’hui, sa famille, des journalistes et des associations de défense des droits humains s’étonnent que les circonstances de sa mort n’ont jamais été élucidées. Les responsables de cet assassinat ne sont toujours pas inquiétés. 

Poursuivre la lecture de « Quatre ans après l’assassinat de Samuel Wazizi, Les responsables ne sont toujours pas connus »

L’impunité fait son nid au Cameroun. Cas des victimes Mbororos du Noun

L’impunité a fait son nid au Cameroun. Et les victimes sont chaque jour nombreux. Dans le département du Noun, certains Mbororos ont subi un préjudice qui n’a pas encore été réparé. Des inconnus ont mis le feu sur leur lieu d’habitation. Depuis lors, les coupables qui sont connus n’ont pas été puni. L’impunité est pourtant réprimée par des instruments internationaux juridiques et nationaux ratifié par le Cameroun. Acteurs de la société civile et hommes de loi s’insurgent et demandent à l’Etat de mettre fin à ce problème d’impunité.

Reportage Charlène Sorelle TEUSSOP avec l’appui de Jade Cameroun.

Poursuivre la lecture de « L’impunité fait son nid au Cameroun. Cas des victimes Mbororos du Noun »

Guerre du Noso. Un groupe armé non identifié tue quatre civils à Kekukesim

Une attaque meurtrière contre des civils a eu lieu  à Kekukesi-Akwaya dans le département de la Manyu, région du Sud-ouest. En plus des morts dénombrés, des destructions généralisées se sont produites à Kekukesim I et II Des actes de violences qui ne cessent de s’accentuer à cause  de l’impunité face au non respect du droit à la vie.

Poursuivre la lecture de « Guerre du Noso. Un groupe armé non identifié tue quatre civils à Kekukesim »

Jeune étudiante de 23 ans assassinée en 2020 par l’ex sous-préfet de la Lokoundje. Trois ans plus tard, la procédure n’a pas beaucoup avancée

Où en est-on avec la procédure judiciaire de la jeune étudiante de 23 ans assassinée en 2020 par son amant, l’ex sous-préfet de la Lokoundje. Trois ans plus tard, la procédure n’a pas beaucoup avancée, et la famille et leurs avocats commencent à s’inquiéter.
Voici le reportage de Jean charles Biyo’o Ella

Poursuivre la lecture de « Jeune étudiante de 23 ans assassinée en 2020 par l’ex sous-préfet de la Lokoundje. Trois ans plus tard, la procédure n’a pas beaucoup avancée »

Disparition de Samuel Wazizi. Le Comité de protection des journalistes dénonce le laxisme de l’Etat

Selon Angela Quintal, coordonnatrice  du programme Afrique du comité pour la protection des journalistes (Cpj), le gouvernement camerounais a dissimulé pendant plusieurs mois la mort de Samuel Wazizi malgré les demandes répétées de ses proches. Pour elle, le Président de la République du Cameroun, « Paul Biya, a promis une enquête. Mais quatre ans plus tard, il n’y a eu ni responsabilité ni transparence… »

Poursuivre la lecture de « Disparition de Samuel Wazizi. Le Comité de protection des journalistes dénonce le laxisme de l’Etat »

Victime d’un cambriolage un peu atypique, Maitre Nicodemus Amungwa commence à craindre pour sa sécurité

Les défenseurs des droits humains sont-ils en danger au Cameroun ? Maitre Nicodemus Amungwa, le porte-parole du collectif du pool d’avocats qui défendent plusieurs  séparatistes, déclare avoir été une nouvelle fois victime d’un cambriolage un peu atypique. Des personnes inconnues arrivées nuitamment ont dévalisé son cabinet laissant de l’argent, mais emportant des cartes de visites, des clefs USB, et des ordinateurs portables dans lesquels se trouvaient les auditions et les confidences de ses clients. Aujourd’hui, il commence à craindre pour sa sécurité.Une situation qui remet au gout du jour, la problématique de la sécurité des défenseur des droits de l’homme au Cameroun.

Reportage, Jean Charles Biyo’o Ella

Poursuivre la lecture de « Victime d’un cambriolage un peu atypique, Maitre Nicodemus Amungwa commence à craindre pour sa sécurité »

Peuples Bagyelli du Sud Cameroun. Difficile accés aux besoins de base.

Le 09 Août était journée internationale des peuples autochtones. Malgré les instruments internationaux ratifiés par le Cameroun,  ces peuples notamment les Bagyelli de la région du Sud Cameroun, peinent toujours à accéder aux besoins de base. Ils peinent à s’approvionner en eau potable et croupissent dans d’interminables problèmes d’accés à la terres. 

À suivre ce reportage de Joseph ABENA ABENA, menée dans les campements avec l’appui financier de JADE.

Poursuivre la lecture de « Peuples Bagyelli du Sud Cameroun. Difficile accés aux besoins de base. »