Thomas d’Aquin NTEP purge une peine de deux ans de prison ferme dans le cadre d’un litige qui l’oppose à un officier supérieur de l’armée. Seulement, le détenu a été torturé et laissé pour mort à la prison principale d’ESEKA, dans la région du Centre. Pointé, l’ancien régisseur de cet établissement pénitentiaire n’a pas souhaité se prononcer. Ces actes de tortures violent les instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme ratifiés par le Cameroun. Suivez ce reportage de Donald Brice Kamgang.

