Deux semaines après le drame du quartier mobile GUINESS dans le 5è arrondissement de Douala, la question des responsabilités se pose avec acuité. L’effondrement de cet immeuble qui a causé la mort d’une quarantaine de personnes rappelle les nombreux manquements en matière de construction au Cameroun. Non respect des normes de construction, promoteurs verreux, corruption généralisée dans l’administration publique. On passe en revue ces maux avec Donald Brice Kamgang
