Mois : août 2023

Le jeune Patrick NOUTANG 31 ans avait dénoncé les conditions économiques au Cameroun. Arrêté par le commissariat du 16è arrondissement de Douala il a été retenu puis transféré à la division régionale de la police judiciaire puis envoyé à la prison centrale de Douala. Il est accusé d’apologie du terrorisme alors qu’aucune source n’évoque des éléments pouvant le lier aux séparatistes.

Le reportage de Kamgang Donald Brice.

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Des handicapés aux abois dans la ville de mbankomo. Leurs boutiques et établissements commerciaux ont été scellés par la mairie pour refus de payer les impôts. Qui plus est, l’un d’eux est poursuivi en justice pour rébellion. Ce que ces derniers considèrent comme une injustice et une violation de leurs droits puisque la loi portant promotion et protection des personnes handicapées les exempte de certaines taxes ou de la réduction de celles ci en fonction du degré de leur handicap. A la mairie de mbankomo c’est silence radio.

Marcellin Gansop

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Le fait d’avoir déposé une déclaration de manifestation publique en bonne et due forme renforce l’argument selon lequel les droits du parti ont été violés. L’interdiction, accuse-t-on, est également discriminatoire, car le Délégué des Sports et de l’Éducation Physique mentionne que les conditions (assurance et ambulance) ne sont pas réunies. Et comme ces conditions sont appliquées de manière sélective et discriminatoire envers le MRC, cela constitue une violation du droit à l’égalité devant la loi. 

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Il y’a 4 ans, il mourrait dans des circonstances encore non élucidées à ce jour. Samuel Wazizi avait été arrêté le 7 Août 2017 à Buéa, transféré à Yaoundé avant que l’annonce sa mort n’intervienne le 17 Août. Avant ces événements, Samuel Wazizi disait déjà craindre des représailles du fait de ses positions critiques envers les autorités au sujet de la gestion de la crise anglophone.

Le point avec Michaël TCHIPKIO

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Des habitants de certaines localités de la région de l’Extrême-Nord vivent ces derniers temps au rythme des attaques de Boko Haram contre elles. A la clé, de nombreuses victimes qui ont souvent du mal à se remettre. Les Nations unies ont institué la journée du 21 août comme journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme. Nous en profitons pour questionner l’assistance qu’apporte l’Etat à ces victimes au quotidien.

C’est avec Michael Tchipkio

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Ces avocats constitués pour la défense de Sisiku Ayuk Tabe et d’autres personnes incarcérées dans le cadre de la crise anglophone y voient une main noire qui veut les intimider et exigent du gouvernement qu’il assure son devoir de protection, conformément aux lois nationales et aux textes internationaux ratifiés par notre pays.

Le reportage de Marcellin Gansop.

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Me Nicodemus Amungwa et Me Emmanuel Pekum, craignent pour leur vie après le cambriolage de leur cabinet à Yaoundé. Ces avocats constitués pour la défense de Sisiku Ayuk Tabe et d’autres personnes incarcérées dans le cadre de la crise anglophone y voient une main noire qui veut les intimider et exigent du gouvernement qu’il assure son devoir de protection, conformément aux lois nationales et aux textes internationaux ratifiés par notre pays.

Le reportage de Gansop Marcellin.

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Après l’incendie de leurs campements dans le département du Noun, de centaines de familles Mbororo vivent désormais la peur au ventre et disent craindre le pire si rien n’est fait par le gouvernement camerounais. Leur cohabitation avec la communauté Bamoun devient  explosive, à cause de nombreux crimes et de l’impunité. 

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Voici quatre ans, le gouvernement annonçait la mort du journaliste Samuel Wazizi le 17 août 2019. Aujourd’hui, sa famille, des journalistes et des associations de défense des droits humains s’étonnent que les circonstances de sa mort n’ont jamais été élucidées. Les responsables de cet assassinat ne sont toujours pas inquiétés. 

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